Auteur/autrice : yan

  • L’érotisme à fleur de paume (2025)

    L’érotisme à fleur de paume (2025)

    Le plaisir d’avoir accueilli dans un mode « café théâtre » l’excellent spectacle de contes de la compagnie Doubles sens qui fetait ses 10 ans durant cette semaine.

    Mise en scène et jeu : Élima Héritier et Laurent Baier
    Répertoire évolutif de contes, contribution du public

    Images mises à disposition par PhotoGraphisme.ch, Sébastien Bovy

  • Catch Impro (2025)

    Catch Impro (2025)

    dernière édition du Catch Impro au Casino Théâtre. Ensuite c’est travaux.

  • climate hacking: DAC

    climate hacking: DAC

    Capture Directe du Carbone :
    DAC – Direct Air Capture

    La Capture Directe du Carbone (DAC) est une technologie de séquestration du CO₂ visant à réduire la concentration de ce gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Elle repose sur l’utilisation de machines spécialisées pour capturer directement le CO₂ de l’air ambiant, puis le stocker ou le valoriser.

    Principe de fonctionnement 🔬

    L’air ambiant contient environ 0,04 % de CO₂, ce qui rend son extraction difficile. Les systèmes de DAC utilisent des processus chimiques pour piéger ce gaz à faibles concentrations.

    Deux méthodes principales existent :

    A. Absorption liquide 🌊

    • L’air est aspiré à travers une solution chimique liquide (ex. amines, hydroxydes alcalins) qui piège le CO₂.
    • Une fois saturée, la solution est chauffée pour libérer le CO₂ purifié, puis réutilisée.
    • Exemples : Climeworks (Suisse) utilise des amines pour capter le CO₂.

    B. Adsorption solide 🧊

    • Le CO₂ se fixe sur une surface solide poreuse (ex. oxydes métalliques, zéolithes, MOFs – Metal-Organic Frameworks).
    • Un changement de température ou de pression permet ensuite de récupérer le CO₂.
    • Exemples : Global Thermostat (USA) utilise des zéolithes pour adsorber le CO₂.

    Stockage ou valorisation du CO₂ 🏗️

    Une fois capturé, le CO₂ peut être stabilisé de plusieurs façons :

    A. Séquestration géologique 🌍

    • Injection dans des formations rocheuses profondes, sous la terre ou sous les océans.
    • Utilisation de cavités salines ou d’anciens réservoirs pétroliers/gaziers.
    • Conversion en carbonates minéraux stables avec du basalte (ex. projet CarbFix en Islande).

    B. Réutilisation industrielle ⚙️

    • Production de carburants synthétiques (Power-to-Liquid).
    • Incorporation dans des matériaux de construction (béton captant le CO₂).
    • Fabrication de polymères et plastiques.

    Déploiement et faisabilité 🌐

    A. Installations existantes 🏭

    Plusieurs entreprises testent déjà la DAC :

    • Climeworks (Suisse) – Usines DAC avec séquestration en Islande.
    • Carbon Engineering (Canada) – Projet de DAC à grande échelle avec stockage souterrain.
    • Global Thermostat (USA) – Approche basée sur l’adsorption solide.

    B. Défis techniques et économiques 💰

    Avantages

    • Élimination active du CO₂ de l’atmosphère.
    • Compatible avec d’autres stratégies de décarbonation.
    • Peut être utilisée pour produire des carburants neutres en carbone.

    Inconvénients

    • Très énergivore (chaleur + électricité).
    • Coût encore élevé (~100-600 $/tonne de CO₂).
    • Besoin de stockage sécurisé sur le long terme.

    Futur de la DAC 🚀

    Les progrès en nanomatériaux, électrochimie et énergies renouvelables pourraient réduire les coûts et augmenter l’efficacité. Couplée à des énergies propres, la DAC pourrait devenir une solution clé pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.

    Source: GPT 03.2025

    Une excellente newsletter sur le domaine de la géo-ingénierie

    https://420ppm.substack.com

  • climate hacking: LCE/BRM/UHIM

    climate hacking: LCE/BRM/UHIM

    Augmentation de l’albédo terrestre :
    Réduire l’absorption de chaleur par des surfaces plus réfléchissantes

    L’albédo est la capacité d’une surface à réfléchir la lumière solaire. Augmenter l’albédo terrestre consiste à modifier certaines surfaces pour qu’elles renvoient plus de rayonnement solaire vers l’espace, réduisant ainsi le réchauffement climatique.

    Méthodes et stratégies principales

    Modification des infrastructures urbaines

    • Toits et routes réfléchissants :
    • Peindre les toits en blanc ou utiliser des matériaux réfléchissants réduit la chaleur absorbée par les bâtiments.
    • Cela peut aussi réduire le phénomène d’îlot de chaleur urbain, où les villes deviennent plus chaudes que les zones rurales environnantes.
    • Revêtements spéciaux pour routes et parkings :
    • Utiliser des pavés clairs ou des enrobés réfléchissants limite l’absorption de chaleur.
    • Exemples : asphaltes à haute réflectivité, bétons clairs.

    Modification des surfaces naturelles

    • Encourager des cultures plus claires :
    • Planter des variétés agricoles à feuilles plus claires pourrait augmenter l’albédo des champs et limiter l’absorption de chaleur.
    • Cela peut être combiné avec des techniques de gestion agricole avancée.
    • Augmenter la couverture neigeuse ou glaciaire :
    • Expérimentations avec des films réfléchissants pour ralentir la fonte des glaciers (testé sur des glaciers alpins).
    • Contrôle de la désertification :
    • Certaines études suggèrent que remplacer des sols sombres par des surfaces plus claires (ex. zones désertiques couvertes de minéraux blancs) pourrait augmenter l’albédo.
    • Effet controversé : cela pourrait modifier les précipitations et perturber les écosystèmes locaux.

    Déploiement de matériaux réfléchissants à grande échelle

    • Nano-matériaux réfléchissants :
    • Utilisation de particules réfléchissantes dispersées sur le sol ou sur les océans pour renvoyer plus de lumière solaire.
    • Exemples : poudres de silice, microbilles réfléchissantes.
    • Miroirs terrestres géants :
    • Projet expérimental visant à installer des panneaux ultra-réfléchissants sur de grandes surfaces terrestres stratégiques.

    Avantages et limites

    Avantages :

    • Méthodes souvent peu coûteuses comparées à d’autres formes de géo-ingénierie.
    • Réduction de la chaleur locale, notamment dans les villes.
    • Peut être mise en place progressivement et adaptée selon les besoins.

    Limites et risques :

    • Efficacité limitée à l’échelle planétaire : l’albédo terrestre ne peut être augmenté que modérément (contrairement aux techniques stratosphériques).
    • Modification potentielle des régimes de précipitations en influençant la dynamique atmosphérique locale.
    • Impacts écologiques incertains si certaines surfaces naturelles sont trop modifiées.

    Faisabilité actuelle

    Certaines techniques, comme les toits blancs, sont déjà déployées à grande échelle. D’autres approches, comme les nano-matériaux réfléchissants, restent expérimentales. Les grands projets d’augmentation de l’albédo terrestre nécessitent encore des études approfondies avant un déploiement massif.

    Source: GPT 03.2025

    Une excellente newsletter sur le domaine de la géo-ingénierie

    https://420ppm.substack.com